Par Jean-René Le Brodeur,
Chercheur en astrologie spirituelle intégrative
Introduction
Du 2 mars 1998 au 23 août 2006, Natascha Kampusch vivra huit longues années de détention dans un cave humide et mal aérée, pratiquement coupée de tout contact avec le monde extérieur. Au sortir de sa séquestration, elle deviendra une célébrité mondiale en raison de cet incroyable dénouement. L’histoire de ce combat pour la survie a été révélée quelques années plus tard à travers un remarquable ouvrage intitulé 3096 jours. Un biopic[1] a suivi qui révéla un détail volontairement omis dans l’autobiographie : le viol.
Natascha Kampusch est née à Vienne le 17 février 1988 à 6 heures 45 minutes le matin, selon le site Astrotheme.[2] Venue au monde avec un double Ascendant (Verseau et Poissons), cette jeune fille a dû composer avec un funeste fatum durant la majeure partie de sa détention. Certes, la lecture de son « calvaire » a de quoi dégoûter les coeurs sensibles en suscitant une aversion croissante envers le ravisseur. Mais sans chercher à supputer dans ce thème la cause des causes, sans chercher à expliquer la nature des liens karmiques l’ayant conduite immanquablement vers Wolfgang Priklopil, il nous a semblé intéressant de nous attarder sur quatre points focaux, appelés Parts astrologiques, et qui ont eu un rôle capital à jouer dans la survie de la jeune prisonnière. Ces Parts, calculées pour certaines à partir de la domification Regiomontanus, portent le nom de :
- Part de Créativité;
- Part de Rachat ou de Rédemption;
- Part de Compassion;
- Et Part de Prescience.
L’analyse succincte de ces Parts permet à tout le moins de comprendre la finesse de jeu de certaines énergies dans le processus de résilience et de survie qui allait progressivement se mettre en place pendant l’enfermement de la séquestrée. Et qui, en fin de compte, lui vaudront sa liberté. Le lecteur doit savoir par ailleurs que la victime a vécu quelques rares moments de bonheur dans sa prison, ce qui l’a conduite à essayer de percevoir les traces d’humanité latentes chez son ravisseur qu’elle qualifiera un jour d’âme égarée. C’est pourquoi, dans l’optique de cet article, nous avons mis de côté les épisodes les plus révoltants, les plus ignobles sur le plan de la cruauté mentale infligée. Un premier examen de ce thème suggère qu’il faille accorder à Pluton le titre de première dominante planétaire – une dominante à responsivité variable cependant dont nous ne traiterons pas la portée – suivie par Saturne et Jupiter sans le concours desquels la jeune prisonnière aurait péri rapidement. Dernière précision sur les Parts : elles sont toutes en interrelation et s’influencent mutuellement. La clé de compréhension réside dans la conjugaison de leur quadruple force. Ajoutons enfin que le niveau d’évolution spirituelle atteint par la jeune Natascha nous autorisait à prendre en compte les régents ésotériques de l’ensemble de son Ciel natal. Puisque chaque organisme est mû par une énergie particulière, il est nécessaire de déterminer la direction précise de l’aspiration fondamentale. La force propulsive de l’Ascendant, la dyade Soleil/Lune et Vénus nous fournissent déjà une clé fort appréciable. Il est difficile de claustrer un Soleil à l’Ascendant car, tôt ou tard, il cherchera par où filtrer, par où rayonner. Nous n’aborderons pas ici la période suivant la libération de Natascha Kampusch. Une rapide incursion sur le Net révèlera la nature foncière de cette aspiration fondamentale. Abordons, tel que proposé plus tôt, l’étude de la première Part.
La Part de Créativité
On la calcule comme suit : longitude de Mercure additionnée à celle d’Uranus, moins la longitude du Soleil. Nous obtenons ainsi la Part de Créativité Yang. En soustrayant la longitude de l’Ascendant, nous obtiendrions la polarité Inn de cette Part. Dans le Ciel de Natascha Kampusch, on peut relever la Part sur le dix-septième degré du Sagittaire.
Les aspects de la Part avec le Ciel radix
- sextile Ascendant, trigone Descendant
- sextile (séparant) Mercure
- décile Pluton
Voici, tirés de l’autobiographie (3096 jours) de la jeune kidnappée, quelques extraits validant le rôle de cette Part dans son vécu d’enfermement.
« C’est ainsi qu’au bout de quelques jours, je me retrouvai dans ma prison à jouer avec mon ravisseur aux dames et aux petits chevaux. »[3]
« Mes peintures murales avaient encore un autre objectif : elles me permirent de créer un décor dans lequel je pouvais m’imaginer chez moi. »[4]
« J’avais demandé en cadeau un petit ordinateur pédagogique, comme celui que mes parents m’avait offert l’année précédente. Le sien était loin d’être aussi bon, mais j’étais folle de joie à l’idée que je pourrais désormais apprendre quelque chose, même sans aller à l’école. »[5]
« À l’époque, je commençais à m’écrire quelques messages. Lorsque les choses sont couchées sur noir sur blanc sur le papier, elles deviennent plus tangibles. Elles atteignent le niveau auquel l’esprit peut plus difficilement échapper, elles sont devenues réalité. »[6]
Analyse de la Part
Intéressant constat : cette Part sollicite d’abord la participation d’autrui à la créativité de la jeune captive, que ce soit via le trigone au Descendant ou encore à partir du sextile à l’Ascendant Verseau qui attire l’être vers le giron du collectif. Le seul interpellé sera le ravisseur bien entendu. Par ailleurs, via Mercure (en sextile séparant), une sollicitation mentale se dessine qui exigera un assouvissement rapide à travers la lecture, les jeux, le journal personnel, les activités manuelles visant l’embellissement du lieu de détention. Comment peut-on survivre à huit années de détention en ne nourrissant pas le mental? La dépression guette le prisonnier laissé ainsi entièrement à lui-même. Ce ne fut pas le cas ici, car le ravisseur avait autant besoin de sa victime que cette dernière de lui. Or, c’est en ce lien même que résidait la faiblesse du geôlier ignorant sans doute que par sa brutalité même, son inimitié, il s’enchaînait à sa victime, laquelle allait finir par le vaincre. « Il vaudrait mieux que tu te tues. Tu ne trouveras plus de toute façon d’autres issues. […] À ce moment-là, quelque chose sembla se briser en lui. Je lus le désespoir dans ses yeux… »[7] La Part en aspect de décile avec Pluton offre d’autant plus d’intérêt qu’elle inaugure dans ses aspects supérieurs une programmation mentale axée sur la résurgence. En effet, Natascha Kampusch essaiera toujours de récréer un environnement lui rappelant celui auquel elle avait été arrachée. Elle n’oubliera jamais l’essence de la créativité qui cherche à magnifier la vie. Elle s’inventera progressivement un second moi, un alter ego avec lequel elle discutera, partagera ses états d’âme ou construira des plans pour le futur. Jupiter, le dispositeur de la Part en secteur II, joue ici un rôle « significatif gratifiant » en comblant désirs ou demandes recevables (petites douceurs, souhaits, cadeaux, produits de première nécessité, etc.). Durant les premières années de sa détention, la jeune Natascha obtiendra presque toujours ce qu’elle demandera, sauf la liberté.
La Part de Rachat ou de Rédemption
On la calcule comme suit : longitude de la Lune additionnée à celle de Saturne, moins la longitude de l’Ascendant. Nous obtenons ainsi la Part de Rachat. Dans le Ciel de Natascha Kampusch, la Part s’inscrit sur le troisième degré du Capricorne.
Les aspects de la Part avec le Ciel radix
- conjonction à Uranus et Saturne
- octile à l’Ascendant
- septile Pluton
Replongeons nous dans l’autobiographie.
« De mon point de vue, il était vital, si je voulais me protéger, de considérer que le ravisseur n’était pas un homme foncièrement mauvais, mais l’était devenu au fil de son existence. Cela ne relativisait en aucun cas l’acte en soi, mais cela m’aida à lui pardonner. »[8]
« Vint aussi le moment où je le lui dis. Je le regardai et lui déclarai : « Je te pardonne, parce que chacun commet un jour une erreur. »[9]
« Cet acte de pardon me rendit le pouvoir sur ce que je vivais et me permit de m’en accommoder. Si je n’avais pas instinctivement adopté cette attitude, j’aurais peut-être sombré dans la colère et la haine – ou j’aurais succombé aux humiliations auxquelles j’étais soumise quotidiennement. »[10]
« J’étais à l’époque infiniment reconnaissante au ravisseur de ces petites choses qu’il m’accordait, comme les bains de soleil ou la piscine des voisins. Et je le suis encore aujourd’hui. Même si cela paraît étrange; je dois reconnaître que, malgré mon martyre, il y eut de brefs moments d’humanité aussi légère fût-elle, parce qu’il me fallait absolument voir le Bien dans un monde auquel je ne pouvais rien changer, et en un homme avec qui je devais composer par la force des choses. »[11]
Analyse de la Part
La clé de cette Part réside dans le pardon, lequel allège la charge karmique et soulage le corps émotionnel. C’est par la lumière de la compréhension émanant de son âme que la jeune prisonnière a pu réussir à opérer cette importante transmutation. Des centaines de personnes n’ont jamais réalisé la nécessité du pardon, estimant que la jeune femme à sa libération aurait dû haïr son ravisseur et s’en tenir à cette position.
Mais l’amour est plus fort que la haine, cette résultante de l’ignorance des fondements de la vie. Navrant constat de la part de celle qui pour avoir pardonné s’est fait insulter pour avoir osé le faire. Cette Part en connexion à Pluton – un septile de transmutation et de reprogrammation en fait – et à Saturne, Seigneur du Karma, lui permettait d’atténuer les rigueurs de sa détention. En pardonnant, elle rendait en quelque sorte son tortionnaire digne de son humanité. L’attitude était noble et magnanime. Et d’autant plus étonnante de la part d’une enfant. Mais était ce vraiment surprenant? « Le karma est un bourreau qui protège sa victime », enseigne l’Agni Yoga. En ce sens, la brute Priklofil allait faire deux cadeaux inestimables à sa prisonnière. Le premier : l’obliger à travailler avec lui et pour lui à la rénovation de ses propriétés, dans des conditions telles que la captive était mise en situation de surcharge. Or, cette charge de travail garantissait à une Kampusch sous-alimentée et dépréciée la tension psychique nécessaire pour maintenir en elle le désir de vivre et de persévérer dans son intention de fuir, si ténue fût-elle. Le second cadeau a été de la confronter à l’insécurité permanente. En effet, la jeune fille pouvait mourir à chaque instant, dépendamment des accès de fureurs incontrôlées de son persécuteur et des blessures physiques infligées pour lesquelles elle ne serait jamais soignée de toute façon. Se savoir en danger de mort à chaque minute de sa vie allait développer chez elle cette vigilance propre à la faire marcher constamment à proximité de l’abîme, mais sans jamais y tomber. Le bon côté de ce karma, s’il en est un, l’aura incité à développer en elle une plus grande sensibilité ainsi qu’une connaissance de l’irrévocabilité. Ce cadeau paradoxal, ce gain d’expériences s’inscrira dans la mémoire de ses atomes permanents à un moment où l’âge nouveau éprouve le besoin pour chacun de clarté responsable. Le sens de la droiture constitue un acquis « transincarnationnel ». Il était présent chez la captive; c’est la seule balise éthique susceptible de contrer l’action des planètes mortifères à l’heure du danger.
La Part de Compassion
On la calcule comme suit : longitude de Vénus additionnée à celle de Neptune, moins la longitude du Régent du secteur XII : Saturne. Dans le Ciel étudié, la Part est focalisée à partir du dix-huitième degré du Bélier. Plus subtile, cette Part est proche cousine de la Part de Rédemption. En aucun cas, il ne faudra attribuer l’efficience de ce Point focal au syndrome de Stockholm.
Les aspects de la Part avec le Ciel radix
- novile Soleil
- sextile à l’Ascendant
- tridécile Saturne/Uranus
Poursuivons avec l’autobiographie comme point de référence.
« Comme je suis la seule qui reste après le suicide du criminel, c’est à moi qu’on s’en prend, et de façon particulièrement violente lorsque je veux inciter la société à considérer que l’homme qui m’a enlevée était aussi un être humain. Un être qui a vécu parmi eux. »[12]
Analyse de la Part
Fait intéressant à signaler, la Part est située au mi-point de Vénus et de Jupiter. Elle connecte donc à deux vecteurs d’amour supérieur. Via Vénus, c’est l’amour résultant du mental éclairé, l’amour comme certitude. Et via Jupiter, c’est la générosité d’intention, la capacité de se détacher des petitesses et mesquineries obstruant le sentier vers la Lumière. Par le novile au Soleil, aspect initiatique par excellence, la Part déverse sa résonance vers le pôle collectif d’une intégration réussie. Kampusch se sait partie d’un Tout dont chacune des composantes influe sur l’ensemble. C’est le Verseau à son meilleur. Par le tridécile qui complète la résonance, il faut souligner la puissance de cet aspect d’embellissement du parcours existentiel. Nous délaissons ici la rigueur du karma pour entrer dans la lumière de l’initiation dont se porte garant Saturne lorsque l’ascension vers la lumière devient l’accomplissement immuable de l’esprit.
La Part de Prescience
On la calcule comme suit : longitude de Mercure additionnée à celle de Neptune, moins la longitude du Régent du secteur IX : Mars en l’occurrence ici. Dans le Ciel de Natascha Kampusch, la Part s’inscrit sur le vingt-huitième degré du Verseau. L’efficience de cette dernière Part aura valu à la prisonnière de recouvrer sa liberté finale.
Les aspects de la Part avec le Ciel radix
- conjonction au Soleil
- sextile Mars
- sextile Jupiter
Poursuivons avec l’autobiographie.
« J’étais sur le chiffre douze, mais loin devant, je me voyais à dix-huit ans. Grande et forte, sûre d’elle, indépendante, comme les femmes de mon roman. Ma projection adulte venait à ma propre rencontre. Au milieu, nous nous rejoignions et nous tendions la main. Le contact était chaud et doux et je sentais en même temps la force de mon futur moi m’envahir. »[13]
« Mais comment mon moi abattu, anxieux, pouvait-il devenir le moi fort qui devait me prendre par la main et me sortir de ma prison? Je ne le savais pas. La seule chose que je savais, c’était que j’aurais besoin d’une force infinie et d’une autodiscipline d’acier. Peu importe où je devais la puiser. »[14]
« Puis tout alla très vite. Dans un geste d’une violence surhumaine, je m’arrachai au sable mouvant qui paralysait mes jambes. La voix de mon second moi me martelait : si tu avais été enlevée hier, tu courrais maintenant. Comporte-toi comme si tu ne connaissais pas le ravisseur. C’est un étranger. Cours. Cours. Bon Dieu, cours! Je laissai tomber l’aspirateur et me précipitai sur la porte du jardin. Elle était ouverte. »[15]
Analyse de la Part
Le matin de son enlèvement, Natascha Kampusch avait eu le pressentiment de ne pas partir seule pour l’école. Un second avertissement devant le ravisseur n’a pas été pris en considération. Elle avait estimé que l’homme qui l’attendait, visiblement nerveux, ne pouvait pas lui faire de mal. Erreur impardonnable. Le jour de sa fuite réussie, les énergies de la Part résonnent encore plus fort. La chance est au rendez-vous, car la Part est au mi-point de Jupiter/Saturne et de Jupiter/Uranus. À la fin de la matinée du 23 août 2006, le Soleil (29° Lion) et la Lune qui s’approche de la Part à l’opposition remettent en éveil le mécanisme de la prescience du bon moment. Et c’est l’évasion réussie. Sont activés du même coup Jupiter radix et le Soleil conjoint à la Part. La protection ultime, la chance, la fin du karma en tant qu’acteurs de premier rôle sont tous au rendez-vous. Avec en sus : Mars pour la volonté de fuir à toutes jambes, faibles ou pas. Instant de courage pendant lequel toutes les fibres de son être clamaient : « C’est possible. Cours. Cours. » La Part de Prescience avait fait son travail au moyen d’une simple injonction, brève et précise, ne pouvant être altérée de quelque manière que ce soit. Peut-être savait-elle au tréfonds de son être que chaque moment manqué augmente la probabilité de rater le suivant, et de vivre enveloppée dans l’acceptation d’une incapacité de parvenir à se libérer? Autre aspect intéressant relié à cette Part : l’arrivée à échéance d’un ordre spatial antérieurement déterminé. Petite, Natascha Kampusch s’était bien jurée qu’à l’âge de 18 ans, elle entrerait dans l’âge adulte et y fixerait ses propres règles de conduite. « Mais pour moi, ce dix-huit ans était au centre de ma petite fête. Il était le symbole de la liberté, le signe qu’il était temps de tenir ma promesse. »[16] Sans le savoir, son geôlier allait accepter cette date en célébrant son anniversaire et de façon plus marquée. De la sorte, il fermait le circuit en faisant passer le courant à travers cette forme astrale de décision. Vint donc pour la prisonnière l’ultime opportunité de valider la proposition originale émise dans l’espace.
Conclusion
Bien sûr, bon nombre d’astrologues auront leur propre interprétation de cet heureux dénouement qui propulsa la jeune Natascha au rang des célébrités mondiales et qui déclencha une tempête en Autriche entre l’appareil gouvernemental et les forces policières. N’en reste pas moins que cette jeune femme libérée est venue rappeler au monde la grandeur du pardon même lorsque la monstruosité exécrable des actes commis en dissuade l’intention. À la lecture de ce récit de captivité confronté à l’examen de la figure horoscopique, il serait judicieux de poser comme hypothèse que la jeune Natascha Kampusch était partiellement responsive aux énergies de la triade Uranus, Neptune et Pluton. Cette hypothèse tout compte fait nous permettrait de prendre en considération la régence ésotérique des signes de son Ciel natal, ce que semble corroborer son retour à la vie normale. Ceci s’avère d’autant plus significatif que l’analyse seule des régents orthodoxes est loin de pouvoir tout expliquer. À la lumière d’un plus grand nombre de dispositeurs toutefois, conjugué à la subtile valeur contributive des Parts, un nouvel éclairage se fait susceptible d’affiner l’interprétation de cette destinée peu commune. Car la clé, la plus belle clé d’interprétation de ce thème, sera toujours celle-ci : la destinée d’une jeune fille venue promouvoir la compassion en dépit des horreurs vécues pendant huit longues années passées « hors du monde. » Seraient-ils nombreux les Terriens capables de suivre ses traces et de s’y maintenir comme elle l’a fait dans la grandeur inaltérable de la miséricorde? À chacun de répondre à la question.
René Le Brodeur
Ouvrage référé :
Natascha Kampusch : 3096 jours (2012), Éditions Jean-Claude Lattès, Paris, 318 p.
Films suggérés :
À moi seule, film français inspiré de l’histoire de Natascha Kampusch, réalisé par Frédéric Videau.
3096 jours, film réalisé par Sherry Hormann. Film tiré de l’autobiographie de la victime.
[1] Film biographique. Almalgame de deux mots anglais : bio pour biography et pic pour picture.
[2] D’un logiciel à l’autre, des écarts de minutes d’arc sont possibles en regard du calcul de l’Ascendant fourni par le site.
[3]Kampusch, Natascha (2010, Natascha Kampusch – 3096 jours, Éditions Jean-Claude Lattès, Paris, p.
[4]Idem, p. 117.
[5]Idem, p. 117.
[6]Idem, p. 251.
[7]Idem, p. 289.
[8]Idem, p. 141.
[9]Idem, p. 141.
[10]Idem, p. 208.
[11] Idem, p. 215.
[12]Idem, p. 218-219.
[13]Idem, p. 194.
[14]Idem, p. 258.
[15] Idem, p. 291.
[16]Idem, p. 271.